La colère

Aïe aïe aïe la colère c’est quelque chose. Oui la colère est puissante. Face à la colère, il s’agit de se positionner et c’est bien là, ce que j’appellerai « devenir adulte ». On se sent tout petit face à la colère. Prenez les catastrophes climatiques (par exemple, le réchauffement), n’y aurait-il pas un imaginaire collectif qui se met en place du coté de la colère écologique? L’environnement qui se retourne contre nous et notre façon de traiter notre demeure « Madame la Planète Terre »?

Et lorsque nous étions petits et que nos parents ou nos professeurs se mettaient en colère, n’étions nous pas dans l’obligation d’accepter la loi posée, quelque soit la justesse de cette loi?

Face à la colère de l’autre, je me sens démunie. Et ce, surtout si je suis dans un lien de dépendance ou d’inter-dépendance avec cet autre. Et je n’ai souvent pas de solution pour résoudre les conflits psychiques que cela engendre chez moi, si ce n’est rentrer dans l’action.

Je peux cependant avec mes repères d’adulte évaluer le positionnement de l’autre et décider que sa colère est justifiée ou non. A moi ensuite de trouver ma façon d’y répondre.

Sortir du désir de l’autre pour trouver ou retrouver son propre désir, that is the question?

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