Que peut-on bien nommer qui donne un nouveau reflet à notre vécu?

Nommer le nom de son père?

Nommer ses qualifications?

Nommer son ressenti?

Nommer sa subjectivité?

Nommer un oui?

Nommer un non?

Nommer ses peurs?

Nommer ses joies?

Nommer sa tristesse?

Nommer sa curiosité?

Nommer son indignation?

Nommer la loi?

Vous avez d’autres idées?

Nommer comme on nomme un homme. Non pas un gnome,  non pas un niais, non pas un nabucodonosaure. Non, un homme. Avec un petit ou un grand « H ». C’est à voir. C’est à pourvoir. C’est à prévoir. C’est à envisager, quoi!