Je ne supporte pas l’abandon. Je n’aime que le flux et le reflux de la mer, ce va et vient rassurant, cette continuité du mouvement qui me fait rejoindre l’éternité. Et pourtant… Que ne m’a t-on pas dit que chaque relation entamée est un deuil plus ou moins précoce, plus ou moins avorté, plus ou moins accepté qu’il va falloir inscrire dans mes cellules, au cœur de l’intime de mon être! ou bien trouver sa place.